Papaye

Originaire du Mexique, le papayer est une plante pérenne, dioïque (pied mâle et pied femelle distinct) de la famille des Caricacées. Bien que le sexe d’un pied soit en mesure d’évoluer en fonction des conditions climatiques, seuls les plants femelles et hermaphrodites permettent d’obtenir des fruits.

Le sexe d’un pied, connu seulement au moment de la première floraison rend la culture du papayer risquée.

En effet, c’est une culture qui nécessite de bonnes conditions climatiques pour produire des fruits.

 

1

Caractéristiques de la culture

 

Enracinement : Le papayer est un grand arbre, à croissance rapide, dont le tronc peut aller jusqu’à 9 mètres de haut. Il possède des racines profondes lui permettant d’aller puiser ses ressources dans les horizons humifères.

  

Type de sol : Le papayer apprécie les sols profonds, sableux, drainant et légèrement acide.

 

Climat :  Le papayer est une culture des milieux tropicaux ensoleillés qui supporte très mal les périodes froides et les températures inférieures à 15 °C.

 

Besoins en eau :  Le papayer nécessite une pluviométrie abondante et bien répartie, de 1800 à 2000 mm par an. En saison sèche, il est indispensable de l’irriguer à hauteur de 150 à 200 mm d’eau par mois afin de maintenir le potentiel fleur/fruit.

2

Type d’irrigation envisageable

 

                                                   

Aspersion basse pression                                                 Goutte-à-goutte

 

 

3

Avantages de l’irrigation

 

L’irrigation permet d’avoir une floraison régulière et donc de sécuriser les rendements

 

Économique et écologique : L’irrigation en goutte-à-goutte permet de localiser l’eau précisément au niveau des racines et d’apporter la quantité optimale aux cultures. Cette technique permet de limiter au strict nécessaire les besoins en eau et ainsi d’éviter le gaspillage

 

La fertigation : Cette technique permet de combiner la fertilisation et l’irrigation. Ainsi, par le biais du goutte-à-goutte, la fertilisation du papayer, réalisée généralement tous les mois jusqu’à la floraison (en systèmes conventionnels), est mieux localisée et plus efficace

 

Réponse aux périodes de sècheresse : Les périodes de sécheresse sont responsables d’une diminution du poids attendu des fruits à la récolte et de leur saveur. Un système d’irrigation bien calibré permet de pallier ces risques.

Papaye

Originaire du Mexique, le papayer est une plante pérenne, dioïque (pied mâle et pied femelle distinct) de la famille des Caricacées. Bien que le sexe d’un pied soit en mesure d’évoluer en fonction des conditions climatiques, seuls les plants femelles et hermaphrodites permettent d’obtenir des fruits.

Le sexe d’un pied, connu seulement au moment de la première floraison rend la culture du papayer risquée.

En effet, c’est une culture qui nécessite de bonnes conditions climatiques pour produire des fruits.

 

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Caractéristiques de la culture

 

Enracinement : Le papayer est un grand arbre, à croissance rapide, dont le tronc peut aller jusqu’à 9 mètres de haut. Il possède des racines profondes lui permettant d’aller puiser ses ressources dans les horizons humifères.

  

Type de sol : Le papayer apprécie les sols profonds, sableux, drainant et légèrement acide.

 

Climat :  Le papayer est une culture des milieux tropicaux ensoleillés qui supporte très mal les périodes froides et les températures inférieures à 15 °C.

 

Besoins en eau :  Le papayer nécessite une pluviométrie abondante et bien répartie, de 1800 à 2000 mm par an. En saison sèche, il est indispensable de l’irriguer à hauteur de 150 à 200 mm d’eau par mois afin de maintenir le potentiel fleur/fruit.

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Type d’irrigation envisageable

 

                                                   

Aspersion basse pression                                                 Goutte-à-goutte

 

 

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Avantages de l’irrigation

 

L’irrigation permet d’avoir une floraison régulière et donc de sécuriser les rendements

 

Économique et écologique : L’irrigation en goutte-à-goutte permet de localiser l’eau précisément au niveau des racines et d’apporter la quantité optimale aux cultures. Cette technique permet de limiter au strict nécessaire les besoins en eau et ainsi d’éviter le gaspillage

 

La fertigation : Cette technique permet de combiner la fertilisation et l’irrigation. Ainsi, par le biais du goutte-à-goutte, la fertilisation du papayer, réalisée généralement tous les mois jusqu’à la floraison (en systèmes conventionnels), est mieux localisée et plus efficace

 

Réponse aux périodes de sècheresse : Les périodes de sécheresse sont responsables d’une diminution du poids attendu des fruits à la récolte et de leur saveur. Un système d’irrigation bien calibré permet de pallier ces risques.