Karité

Originaire d’Afrique subsaharienne, le karité est un arbre de la famille des Sapotaceae qu’on retrouve à l’état sauvage dans de nombreux pays d’Afrique de l’Ouest comme le Mali, le Burkina Faso le Bénin ...

Très utilisé en alimentation traditionnelle, le karité est aussi commercialisé pour son fruit, très utilisé en cosmétique.

 

 

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Caractéristiques de la culture

 

Enracinement : Le karité possède un bon enracinement compte tenu de sa racine pivotante pouvant attendre plusieurs mètres de profondeur et ses racines latérales traversant plusieurs horizons humifères.

En effet, la majorité des racines du karité se retrouvent dans les premiers horizons humifères mais le reste des racines nourricières peut atteindre une profondeur allant jusqu’à 70 cm 

  

Type de sol : Le karité s’accommode à des sols profonds, bien drainés et de type sableux  

 

Climat : Le karité est une culture des milieux sahéliens. Il affectionne particulièrement le plein soleil des savanes. 

 

Besoins en eau : Le karité nécessite en moyenne 1000 mm/an. Il est important de noter que cet arbre apprécie particulièrement les saisons sèches bien marquées, ce qui amplifie sa floraison.  

 

Rendement  : Le karité est un arbre ancestral qui produit à partir de la 15 année. De ce fait, il est très rare de la voir en production agricole.

Le pic de production intervient entre la trentième et la quarantième année de production. Les meilleurs rendements se situent autour de 20 kg de fruits par arbre ; ce qui correspond à environ 5 kg d’amande par an. 

2

Type d’irrigation envisageable

 

                                            

Aspersion                                                                          Goutte-à-goutte

Culture non-irriguée en général sauf en pépinière (goutte-à-goutte ou aspersion)  

 

 

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Rendement et exemples d’études

 

  • Économique et écologique : L’irrigation en goutte-à-goutte permet de localiser l’eau précisément au niveau des racines fines et d’apporter la quantité nécessaire tout en évitant le gaspillage. En pépinière, elle permet également de stimuler la croissance et la création de racines fines ce qui engendre par la suite une meilleure absorption des micronutriments. 

 

  • Réponse aux périodes de sècheresse : Les périodes de sécheresse (minimum 5 mois) sont responsables d’une bonne floraison. Il convient donc de maîtriser la quantité d’eau allouée au karité et les périodes d’irrigations choisies. 

Karité

Originaire d’Afrique subsaharienne, le karité est un arbre de la famille des Sapotaceae qu’on retrouve à l’état sauvage dans de nombreux pays d’Afrique de l’Ouest comme le Mali, le Burkina Faso le Bénin ...

Très utilisé en alimentation traditionnelle, le karité est aussi commercialisé pour son fruit, très utilisé en cosmétique.

 

 

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Caractéristiques de la culture

 

Enracinement : Le karité possède un bon enracinement compte tenu de sa racine pivotante pouvant attendre plusieurs mètres de profondeur et ses racines latérales traversant plusieurs horizons humifères.

En effet, la majorité des racines du karité se retrouvent dans les premiers horizons humifères mais le reste des racines nourricières peut atteindre une profondeur allant jusqu’à 70 cm 

  

Type de sol : Le karité s’accommode à des sols profonds, bien drainés et de type sableux  

 

Climat : Le karité est une culture des milieux sahéliens. Il affectionne particulièrement le plein soleil des savanes. 

 

Besoins en eau : Le karité nécessite en moyenne 1000 mm/an. Il est important de noter que cet arbre apprécie particulièrement les saisons sèches bien marquées, ce qui amplifie sa floraison.  

 

Rendement  : Le karité est un arbre ancestral qui produit à partir de la 15 année. De ce fait, il est très rare de la voir en production agricole.

Le pic de production intervient entre la trentième et la quarantième année de production. Les meilleurs rendements se situent autour de 20 kg de fruits par arbre ; ce qui correspond à environ 5 kg d’amande par an. 

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Type d’irrigation envisageable

 

                                            

Aspersion                                                                          Goutte-à-goutte

Culture non-irriguée en général sauf en pépinière (goutte-à-goutte ou aspersion)  

 

 

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Rendement et exemples d’études

 

  • Économique et écologique : L’irrigation en goutte-à-goutte permet de localiser l’eau précisément au niveau des racines fines et d’apporter la quantité nécessaire tout en évitant le gaspillage. En pépinière, elle permet également de stimuler la croissance et la création de racines fines ce qui engendre par la suite une meilleure absorption des micronutriments. 

 

  • Réponse aux périodes de sècheresse : Les périodes de sécheresse (minimum 5 mois) sont responsables d’une bonne floraison. Il convient donc de maîtriser la quantité d’eau allouée au karité et les périodes d’irrigations choisies.